La musique fait partie intégrante de l'univers d'Olivier Dhénin : la plupart de ses pièces comporte une musique de scène originale : les partitions d'Ellénore, la trilogie de L'Ordalie, Cordelia sont de Jacques Boisgallais, tandis que Nigji Sanges compose celle qui illustre Andreas/Maelström. Olivier Dhénin écrit également des livrets d'opéra (Das irdische Leben pour Christoph Ehrenfellner) ou textes de cantate et motet à l'attention de différents compositeurs contemporains (Miserere de Nicolas Bacri) et plusieurs poèmes ont été mis en musique (Karol Beffa, Michaël Sebaoun). Pianiste, mélomane et metteur en scène, la passion pour l'opéra lui vient peut-être de son arrière grand-oncle Marcelin Duclos, baryton qui débute à l'Opéra de Paris dans le Faust de Charles Gounod en 1909 où il interprète le rôle de Valentin.